Ce texte a été inspiré par l’écrivain Abdellah Taïa et son texte portant le même titre, publié pour le 17 mai 2020, journée mondiale de lutte contre l’homophobie et transphobie.
Mon ami.e gay marocain.e,
Ce qui se passe aujourd’hui au Maroc n’est pas nouveau. Ce n’est pas la première fois. Et ne sera malheureusement pas la dernière. Mais tu as une voix aujourd’hui. Une voix qui commence à être entendue. Écoutée. Respectée. Sache-le. Ce jeune que tu es aujourd’hui, je l’ai été aussi. Je connais exactement cette peine. J’ai été vêtu de cette peur aussi. De ce manque d’espoir.
Cette noirceur qui sombre le tunnel de ta vie n’est qu’une illusion. C’est un mirage. La réalité est plus belle. La réalité est enluminée.
Suite publiée dans le recueil « L’amour fait loi » – Éditions le Sélénite

Sincèrement….pas terrible…hétéronomée ne veut rien dire…je déteste l’écriture inclusive….ça sonne faux….c’est plein de maladresses. Si une lutte est nécessaire elle doit naître au Maroc.
Bref décevante évolution.
Merci Gilles pour ta critique.
En effet, une coquille s’est glissée dans le mot « hétéronormée ». L’écriture inclusive est là comme son nom l’indique « pour inclure tout le monde », je comprends ton hésitation à l’utiliser. Mais c’est avant tout un signe de respect.
Une lutte est nécessaire au Maroc. Il y en a bien une. Depuis plusieurs années. Je t’invite à rendre visite au pays prochainement et t’approcher de cette nouvelle générations de militants LGBT+.
Mes amitiés.
Bonsoir Hicham
j’aimerais bien retourner au Maroc.
Hélas..les vents sont contraires.
Et je crains que les lauriers soient…coupés.
Quant à l’écriture inclusive..c’est un mirage…c’est comme casser un thermomètre…ça ne fait pas disparaitre la fièvre. C’est une mode stérile qui rend la lecture inconfortable. C’est un lue d’enfant gâté.
Merci d’avoir répondu.